ALVENTOSA (Jean-Raphaël)

Directeur du personnel et de la formation de la police

Né le 1er avril 1949. Inspecteur du Trésor (1er octobre 1971). Elève de l’ENA (1979-81). Administrateur civil à la direction de la comptabilité publique du ministère de l’Economie et des Finances (1er juin 1981). Affecté au service du contrôle d’Etat – mobilité – (20 septembre 1985). En poste à la direction de la comptabilité publique du ministère de l’Economie et des Finances (23 septembre 1987). Chef de bureau (1er janvier 1988). Conseiller technique au cabinet du ministre de l’Intérieur Pierre Joxe (30 janvier 1989). Directeur du personnel et de la formation de la police (17 septembre 1990).  Directeur des services financiers au ministère de la Défense (16 octobre 1992). Administrateur civil hors classe, directeur des affaires financières au ministère de la Défense (10 mars 1999). Conseiller maître en service ordinaire à la Cour des comptes (8 décembre 1999 – Première chambre : ministère des Finances et du Budget, ensemble des circuits financiers). Membre du conseil de surveillance de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale – en tant que personne qualifiée – (11 mai 2001). Président du conseil d’administration de l’Agence de maîtrise d’ouvrage des travaux du ministère de la Justice (3 décembre 2001 ; reconduit dans ces fonctions le 30 décembre 2004, puis le 30 décembre 2007).

Articles (dont il est l'auteur) : « La révolution financière dans les affaires militaires » in Revue Défense nationale et sécurité collective, n°5, 1999 ¤¤¤ « Les nouvelles modalités du contrôle des services » in Revue française des finances publiques, n° 82, p. 63, 2003 ¤¤¤ « Le nouveau rôle de la Cour des comptes » in Revue française des finances publiques, n° 91, p. 99, 2005 ¤¤¤

Portrait : Annuaire de la Cour des Comptes

Sources : Annuaire de la Cour des Comptes 2007, J.O. du 22 mai 2001 et du 1er janvier 2005


Bibliographie (ouvrages où il est cité) et extrait :

- HAMON (Alain) et PERISSE (Xavier) - Les seigneurs de l'ordre public, Paris, Belfond, 1991, page 184 et pages 30, 136, 193 et 196 : « Pour Raphaël Alventosa, la cheville ouvrière des grands chantiers, "il reste deux grandes institutions à réformer : la police et la justice. C’est aussi fondamental pour la survie de l’Etat que la réforme budgétaire et le virage de la rigueur économique en 1983. Question de volonté". Ce technocrate, issu du ministère des Finances, n’en manque pas. Il connaît parfaitement l’art des négociations marathons »