cette rencontre scientifique s'est intéressée au destin des gendarmeries de vingt-six pays différents, du Japon au Brésil, de la Belgique à la Roumanie, de l'Iran à l'Afrique sub-saharienne.

Elle l'a fait sur la base de près d'une trentaine d'interventions d'universitaires et de chercheurs mais aussi de professionnels de la sécurité (avec traduction simultanée français-anglais) appelés à traiter de sujets tels que, par exemples, "La Garde civile comme garante de l'unité impériale espagnole, 1848-1898", "La gendarmerie nationale vietnamienne (1951-1956) : une expérience d'un transfert de savoirs et de savoir-faire dans le contexte de la décolonisation" ou encore "La gendarmerie au Cameroun, du mandat de la SDN au nouveau dispositif de sécurité de 1945".

De quoi se plonger dans d'autres époques et dans d'autres types d'Etat (national, impérial, fédéral ou colonial). De quoi révéler une autre histoire de la force publique et des systèmes policiers. De quoi mettre en perspective d'autres voies de circulation internationale des acteurs et des pratiques de l'ordre public.

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