BARDEY (Patrick, Georges, Jean)

Chef du service de protection des hautes personnalités

Né le 7 septembre 1943 à Paris 17ème. Père directeur de société. Etudes au lycée Carnot à Paris et à la faculté de droit de Paris. Diplômé de l’IEP de Paris. Titulaire d’un DES en droit public. Commissaire de police (1er septembre 1970). Elève de l’ENSP (1970-1972). Affecté au 2ème district - direction générale de la police municipale à la préfecture de police - à Paris (21 août 1972). Chef du secrétariat de la DGPM (1er juin 1973). Affecté à l’état-major de la DGPM (16 février 1976). En brigade de direction à la DGPM (16 août 1977). Commissaire principal (1er janvier 1978). Chef du commissariat du 5ème arrondissement – DGPM – (1er août 1979). Chef du commissariat du 8ème arrondissement – PPSP- (16 août 1981).

Directeur de l’école nationale de police de la préfecture de police (1er  juin 1982). Commissaire divisionnaire (1er janvier 1983). Contrôleur général des services actifs de la police nationale, chef du 5ème district  (22 août 1983), puis du 6ème district à la PPSP (1er avril 1986). Sous-directeur de la gestion opérationnelle et des ressources humaines à la PPSP (4 mars 1991). Adjoint au directeur de la sécurité publique à la préfecture de police (15 septembre 1993).

Inspecteur général des services actifs de la police nationale, chef du service de protection des hautes personnalités (20 novembre 1995). Retraité à compter du 8 septembre 2003. Inspecteur général honoraire. Administrateur (1974) et ancien président de la Réunion des officiers de réserve du service d’état-major (Orsem).

Portrait : Archives de la préfecture de police

Sources : Annuaire du syndicat des commissaires et hauts fonctionnaires de la police nationale 1997-98, Who’s who 2003-04

Bibliographie et extraits : « Les excès de vitesse des ministres (Gayssot, Buffet, etc.), rapportés dans Auto-Plus de janvier, provoquent une crise au Service de protection des hautes personnalités, dirigé par le commissaire Patrick Bardey : aucun des policiers chargés de la protection des VIP n’a détecté que les voitures ministérielles avaient été suivies » (Faits & Documents, 1er au 15 janvier 2001, p. 4) ¤¤¤